Un gars, une contrebasse (virtuose, appelée "Madame Imbert"), une batterie (bien présente) : ça, c’est la version de scène. Originale, violente par moment, douce et souriante ailleurs, et habillée d’une esthétique jamais vue, une "cage à chanteur" en fer qui se transforme en manège de tableaux, sous des lumières finement soignées. En un mot : é-pous-tou-flant, c’est "le" choc de scène de l’année. Il faut le voir pour le croire : Imbert Imbert et sa dame sont de grands personnages !