Un grand bonhomme bien campé dans ses pompes, de belles guitares, des accents rock ou folk et des textes directs, ici, on ne mâche pas ses mots. Frasiak mène depuis 1983, année où il a fait le Printemps de Bourges, une aventure de chanson qui se peaufine et s’affirme avec conviction. Une de ses chansons rend un bel hommage à Béranger, une autre fustige les travers de l’ère virtuelle. Ça donne à penser…